 Your new post is loading...
Le cognitif transforme en profondeur les modèles économiques des entreprises. Même si certains secteurs sont plus avancés que d'autres, tous sont concernés, comme l'explique Jean-Philippe Desbiolles, vice-président Cognitive Solutions chez IBM France.
"Avec la profonde mutation économique que nous vivons, notre Employabilité se définit désormais comme le produit de nos Compétences et de nos Talents : E= C x T en quelque sorte ! Précisons que cet effet synergique est vrai pour toutes les formes d’employabilité (manuelle, et intellectuelle) et s’explique simplement si l’on veut bien admettre que nos compétences représentent notre habileté à utiliser des outils ou méthodes connus face à des situations connus alors que nos talents constituent notre habileté à créer ou trouver des outils nouveaux face à des situations nouvelles."
« La transformation digitale c’est des business nouveaux reposant sur de nouvelles expériences« . C’est la définition de la transformation digitale qui fait foi aujourd’hui et si comme toute définition synthétique d’un domaine aussi large elle est forcément un peu réductrice, elle ne donne pas moins une idée assez claire des enjeux. Et pourtant elle fait beaucoup de mal à qui ne sait pas la manier et la prend au pied de la lettre.
We’re at a critical time for the digital economy. Digital is no longer the shiny front end of the organization – it’s integrated into every aspect of today’s companies. As digital technologies continue to transform the economy, many leaders are struggling to set a digital strategy, shift organizational structures, and remove the barriers that are keeping them from maximizing the potential impact of new digital technologies.
On entend de plus en plus souvent qu’on « apprend de ses erreurs ». L’erreur a longtemps été une faute, elle est de plus en plus perçue comme apprenante. C’est vertueux ! Mais il faut aller plus loin, et savoir innover dans l’erreur !
«Pour devenir une entreprise digitale il vous faut régler les problèmes que nous n’avez pas su régler les 30 dernières années», par Bertrand Duperrin, expert FrenchWeb.
Une étude menée par Harvard Business Review sur la commande de CA Technologies met en avant les facteurs de succès pour triompher d'une disruption.
Discours fondateur du PDG,relation clientet informatique repensées, mentoring inversé, recrutements dans l'écosystème... Véronique Weill, la directrice des opérations groupe, détaille les intitiatives de l'assureur.
C’est la fin d’année et l’époque des prédictions qui n’engagent que ceux qui veulent y croire. Plus sérieusement, vues de ma petite fenêtre, voilà en 9 points les tendances que je sens poindre pour 2016.
La transformation digitale est un un changement comme un autre et, en tant que tel, obéit à certaines règles dont on ne peut s’affranchir. Un peu comme la gravité. Aussi évident que cela puisse sembler il est toujours bon de le rappeler tant c’est un domaine dans lequel les entreprises ont tôt fait d’oublier le bon sens, croyait à tort que la technologie va tout régler et le changement dans l’entreprise s’opérer comme par magie vu qu’il s’est produit naturellement à l’extérieur. Sauf que pour l’essentiel la technologie n’est pas levier du changement ni son objectif. C’est son utilisation qui est l’objectif et les leviers du changement principalement humains.
Pour être à l'avant-garde de la révolution numérique, on a tort de croire qu'il suffit aux entreprises d'investir dans le BYOD ("Bring Your Own device"), le stockage dans le cloud ou encore l'analyse des Big Data.
Le digital, du fait de sa nature éminemment réplicable et "scalable" requiert souvent un nouveau regard sur la gouvernance pour le digital au sein de l’entreprise. Puis enfin, il y a la culture et le "change management" pour faire évoluer les modes de fonctionnement et mieux connecter l’entreprise avec l’écosystème numérique. Ce dernier domaine est très souvent sous-estimé par les entreprise, mais il est, à notre avis, un des éléments essentiels à la réussite d’une transformation digitale.
Le premier mois de l’année 2016 vient de s’écouler et déjà de nouvelles tendances semblent se dessiner. Que cela soit dans leurs manières de travailler, de répartir les tâches, de communiquer ou de se vendre, les PME et TPE vont être amenées à émanciper leur présence en ligne, simplifier leurs rouages et s’appuyer sur leurs communautés pour se démarquer de la concurrence. En plus donc d’adopter les bonnes résolutions pour 2016, il vous faudra surfer sur les tendances suivantes…
|
L’intelligence artificielle : voilà un sujet controversé qui écoule beaucoup d’encre depuis quelques années. De quoi s’agit-il ? Comment les entreprises peuvent-elles s’en servir pour améliorer leur système de gestion et leur chiffre d’affaire ?
" La préparation d’une conférence sur le management intergénérationnel m’a amené à repenser au concept de “digital native” et de “culture digitale”. Les jeunes sont-ils vraiment digital natives ? Si oui, comment les aider à transmettre aux aînés ? Y a-t-il réellement un fossé générationnel autour du digital ? Si non, comment remettre en question ce concept et lui donner du sens ?"
Passer au numérique n’est pas un levier de compétitivité pour relancer la croissance, mais une question de survie. Et c’est là que les ennuis commencent. Car la transition ne se résume pas à installer des ordinateurs, les connecter, et former ses collaborateurs à leur usage. Il s’agit de changer de fond en comble non seulement l’organisation de l’entreprise, mais également sa culture. À quoi bon avoir un compte Twitter, s’il faut demander l’autorisation à son "N + 2" pour publier le moindre message ?
La transformation digitale est le buzzword de ce début d’année. Mais de quelle transition parle-t-on au juste ? Lors du dernier World Economic Forum, son fondateur Klaus Schwab en a profité pour l’inscrire dans l’Histoire en évoquant la « la quatrième révolution industrielle ».
CSC vient de publier l'édition 2016 de son Baromètre de la Transformation Digitale où la tendance s'écrit avec 5 D : disruption, digitalisation, dé-silotage, diffusion et différenciation technologique.
La transformation numérique n'est pas la seule affaire de la DSI, mais aussi du marketing et des ventes. Et où en sont ces fonctions dans leur usage du numérique ? Elles progressent comme en témoignent Etam, Alcatel-Lucent et Colissimo.
Internet pèse désormais 1,3 milliard de chiffre d’affaires pour l’Oréal, soit plus que l’Allemagne. Le groupe fait entrer un manager de Google à son conseil d’administration.
'aide à la décision reste l'un des domaines qui évoluent le plus vite en milieu professionnel. En plus des progrès technologiques rapides, les techniques employées pour favoriser l'adoption et tirer le meilleur parti des données ne cessent de se diversifier. Parmi ces tendances, on retrouve un intérêt croissant pour des analyses plus approfondies permettant de répondre à des questions plus précises, ainsi que l'émergence de nouvelles approches de gouvernance pour les analyses en libre-service. La vague de l'innovation n'a pas fini de déferler.
Rapport à télécharger.
La somme de ces élites intelligentes individuellement, ne forme pas un système collectif intelligent. Il faudrait arriver à supprimer des symboles discriminants comme les notions de cadre et non cadre, Maîtrise d’ouvrage et Maîtrise d’œuvre, reconsidérer les codes hiérarchiques et les contrats de travail, faisant passer ces derniers de contrats de subordination à des contrats de coopération.
Alors les fabricants high-tech s'apprêtent à lancer leurs casques de réalité virtuelle, les sociétés spécialisées dans les applications professionnelles dévoilent de plus en plus d'usages BtoB. Passage en revue.
Des années qu'on en parle mais maintenant les technologies sont prêtes à réellement transformer l'entreprise: cloud, big data, ou encore mobile vont s'imposer définitivement en 2016 et vont transformer l'industrie et nos manières de travailler. Voilà comment.
|